Lundi 25 mai
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/05
/Mai
19:34
Deuxième partie des aventures d'un jeune homme qui reçoit une mini vague permanente ce qui amène des changements
radicaux dans sa vie.
2ème partie.
Woaw, la forte odeur d'ammoniac me brûlait le nez alors que je me réveillait, je dois avoir perdu connaissance. Quand ma vue fut claire, je pouvais voir une large tache sur le devant de mon
pantalon, et j'ai rougi en réalisant que j'avais éjaculé, tout en me regardant dans le miroir. Je pose mon regard sur le miroir, oui c'est vrai, et non ce n'était pas un rêve, mes cheveux ont été
permanentés, séchés et joliment arrangé, mes sourcils sont bien épilés, mon visage était maquillé, et alors que je touchais les boucles d'oreilles, je vis mes faux ongles polis et vernis, ce qui
confirmait que mes oreilles étaient bien percées. Mes yeux ont croisé ceux de Janice dans le miroir alors qu'elle me regardais m'observer moi-même. Embarrassé ou pas, je ne pouvais pas arrêter de
regarder ma nouvelle beauté.... Je suis belle et j'adore ce qui m'arrive. Je ne devrais pas penser ainsi, avant aujourd'hui je n'avais jamais eu aucun désir de ressembler à une fille. Mais, je
pouvais sentir mon excitation grandir à nouveau, et je déplaçais mes mains afin de cacher le début d'une nouvelle érection !
- Ne soyez pas gênée ! De toute évidence, vous avez eu une merveilleuse et excitante expérience. Je pense que c'est juste fantastique que vous puissiez jouir en voyant votre
nouvelle beauté. Si vous pensez que vous vous êtes suffisamment remise, pourquoi ne venez vous pas ici, je prendrai quelques photos de vous, maintenant que nous avons fini avec la permanente que
vous avez voulue. Drapez juste la veste sur votre bras, cela cachera la tache sur votre pantalon, déclara Janice.
Comme je me levais du fauteuil de coiffure, j'ai réalisé que j'étais encore un peu fragile. Puisque je n'avais jamais perdu connaissance auparavant, je ne savais pas que cela était normal. Janice a
pris plusieurs photos de moi dans le salon de coiffure, entre la machine pour les mini vagues permanentes, et le fauteuil de coiffure. Puis nous avons traversé le salon jusqu'à l'accueil où elle
prit plusieurs photos de moi alors que je passais par la porte. J'étais beaucoup moins fragile maintenant, et j'étais effectivement heureuse de poser. Alors que nous marchions à travers le salon,
j'ai remarqué il n'y avait plus de clients et j'ai réalisé à quel point il était tard. J'avais été tellement absorbé par ma nouvelle beauté que je n'avais pas encore réfléchit à ce que j'allais
faire. Peut-être que je serai capable de me faufiler sans être vu dans mon appart ce soir. Demain, je pourrai m'inquiéter de la façon dont je ferai face au monde. Mme Merrill dit qu'elles
pourraient défaire la permanente si je n'aimais pas, mais que pourrai-je faire de mes sourcils épilés et de mes oreilles percées. Mais patiente, demain sera là bien assez tôt, dès maintenant, je
veux juste profiter de ma nouvelle apparence. Oh woaw, est-ce que j'ai vraiment pensé ça ? Qu'est-ce que je fais, je ne devrais pas penser comme ça ! J'étais juste venu aujourd'hui pour faire
quelques photos d'une mini vague, puis tout ceci est arrivé et maintenant je ressemble à une belle jeune femme. Janice a dit qu'elles avaient fini la mini vague permanente que je voulais. Je ne
suis pas venu ici en voulant une mini vague, mais maintenant je suis très heureux qu'elles me l'aient faite. Je ne peux pas retourner à ma vie normale avec cette apparence, mais oh mon Dieu,....
j'aime ce que je ressens et ce que je vois.
- Si vous venez avec moi, nous vous nettoierons pour le dîner avec Mme Merrill, car elle veut vous parler, me dit Janice en souriant.
J'ai suivi Janice jusqu'au même dressing où tout avait commencé, elle m'ordonna de nouveau d'enlever tous mes vêtements. Elle m'aida à enlever le façonneur de corps et après avoir enfilé une paire
de gants chirurgicaux, elle a ouvert une boîte et y pris une lingette humide. Elle a commencé à essuyer mon pénis ainsi que mon scrotum, et toutes les parties touchées par mon jet de sperme.
- S'il vous plaît, excusez les gants, rien de personnel vous comprenez, il nous faut cependant être prudent jusqu'à ce que nous ayons analysé votre sang, déclara Janice.
Elle mis ensuite les lingettes sales et ses gants dans un conteneur spécial, qui était en fait un incinérateur. J'étais déjà assez embarrassé d'avoir éjaculé dans mon pantalon et de m'être
évanouis. Elle me fit enlever tous mes vêtements et commença à me laver comme un bébé, j'étais réellement mortifiée. Mais de toute évidence pas trop embarrassé. Alors qu'elle était en train de me
laver, je ne pouvais pas m'empêcher de me regarder, ou plutôt de regarder mon reflet dans le miroir. Oh non, je commence à avoir une autre érection. De quoi a-t-elle parlé, un test sanguin ? Je
comprends ses précautions contre le sida, mais pourquoi aurais-je besoin d'un test sanguin. Après avoir mis sur une autre paire de gants, elle a ouvert une autre boîte et a pris une autre lingette,
avec laquelle elle m'essuya le pénis et le scrotum. Dès qu'elle eu commencé, je sentis mon pénis et mon scrotum s'engourdir. Voyant mon regard anxieux, Janice dit :
- Ne vous inquiétez pas, l'effet d'engourdissement n'est que temporaire. Mais vous ne vous salirez plus vos vêtements, tant que vos organes sont sous contrôle. En outre, je serai
en mesure d'assortir vos vêtements avec votre projet. J'ai remarqué que, même avec l'air conditionné vous transpiriez alors que nous travaillions sur votre transformation, s'il vous plaît allez
dans la salle de bain que nous vous nettoyions entièrement. Vous devriez vous sentir fraîche et douce dans ces nouveaux vêtements.
Après avoir placé la deuxième lingette dans l'incinérateur, elle enleva ses gants et les jetta également. J'entra dans le bain quand elle l'avait ordonné, et elle commença à me frotter
vigoureusement avec une lotion parfumée sur tout le corps, de la nuque vers le bas, en couvrant tout, les paumes de mes mains et la plante de mes pieds. Janice me dit de rester comme cela quelques
minutes, alors qu'elle choisissait une nouvelle tenue pour moi. Je lui demanda ce qu'était la lotion, mais elle avait déjà quitté la salle de bain. Alors que j'attendait son retour, je me surpris à
espérer que je n'avais pas abîmer ma coiffure ni mon maquillage pendant le bain. La lotion commençait à me brûler et à me démanger alors que Janice revenait enfin, je lui dit combien j'étais mal à
l'aise. Elle fit couler l'eau et testa la température et puis me dit :
- Dès que vous aurez tout rincé, je suis sûr que vous serez enchantée du résultat.
Comme elle l'a atteint à la tête de la douche Je me suis alors rendu la douche est un tuyau souple, comme vous voyez dans les motels pour les personnes handicapées. Elle m'a dit de chercher et elle
a commencé à la lotion de rinçage hors de mon corps. Elle a accompagné le rincer en frottant sa part tous les autres sur mon corps. Elle avait raison, l'effet d'engourdissement de la towelette a
mes choses sous contrôle. Elle a ensuite pris une grande serviette, me flatter et sec épousseté moi tout avec une merveilleuse odeur de la poudre. Elle m'a remis un autre verre de ce vin
merveilleux et m'a dit que cela pourrait aider mon malaise. Parvenir à un tas de sous-vêtements qu'elle avait portés dans le bain, elle mis un corset rose autour de ma taille que je regardais dans
le miroir. Cela semble naturel automatiquement face du miroir et de vérifier mes cheveux et le maquillage dès que possible. Je me demande pourquoi je l'ai fait? Je ne me souviens jamais fait ça
avant. Comme je l'ai regardé à nouveau ma belle apparence, Janice a tirer sur les lacets du corset. Quand j'ai protesté contre la façon dont elle a serré les tirant, elle m'a dit ....
- Votre tour de taille est un peu trop grand, vous le savez, et si vous voulez être belle, vous devez être prêt à souffrir. De plus, vous savez maintenant que vous voulez être aussi jolies
que nous pouvons faire de vous.
Il est vrai pour une raison inconnue, je voulais très mal d'être belle. Et même si pendant qu'ils étaient à travailler sur moi dans le salon tout ce qu'ils ont fait pour moi a été mal à l'aise,
même douloureux, j'avais été très excitée par tout ce qu'ils ont fait. Et OH!, Les résultats sont certainement une valeur de toutes les souffrances. Comme Janice mis une belle rose dentelle
soutien-gorge rembourré sur mes bras et attaché dans le dos. Je me suis rendu compte que je n'avais jamais été aussi heureux. Elle a atteint à l'intérieur de la tasse de la gorge et a tiré ma chair
jusqu'à la fait reposer sur le haut de la pads. J'ai été étonné de voir comment ce fait-il l'air, j'ai eu les seins! Janice s'agenouilla et a commencé à presser mon scrotum et j'ai ressenti une
vive douleur comme elle l'a poussé mon dos testicules à l'intérieur de mon corps. Avant je pouvais obtenir mon souffle, elle a obtenu les y avec quelques bandes.
- Qu'est-ce que vous faites ! Cela m'a vraiment fait mal, ai-je pleuré.
- Mme Merrill ne permet pas à l'apparence d'un homme en haut. Comme elle a eu la gentillesse de vous inviter à dîner avec nous, je contribue à rendre votre apparence acceptable. Il est
évident que vous avez bénéficié de toutes les douleurs et l'inconfort nous vous aujourd'hui. En fait, je ne serais pas surpris que, avant longtemps, vous avez demandé, peut-être même supplié pour
plus seulement la douleur et la souffrance afin de pouvoir rester jolie et féminine, répondit Janice.
Janice a pris un autre morceau de ruban adhésif, et tout en boucle autour de mon pénis m'a dit de me tirer les joues de mon bout dehors. Quand je suis at-elle tiré les extrémités de la bande
arrière entre les jambes et pressée à mes joues. Permanent de sauvegarde, elle m'a remis un miroir pour que je puisse voir ce qu'elle avait fait. Oh my, tout semble avoir disparu! Même les cheveux!
Je n'avais pas beaucoup de toute façon que quelques-uns des cheveux blonds fuzz autour de mon pénis et que certains étaient à peine visibles sur mes jambes. Mais maintenant que j'ai été nu comme
une bille blanche.
- Il n'y a pas beaucoup plus beau maintenant que nous ne pouvons pas voir les choses laides. Bien sûr, si vous avez besoin d'uriner, vous devrez penser à siéger. Maintenant demi-tour et de
s'asseoir sur le tabouret et la vanité sur cette paire de tuyau. déclara Janice.
J'ai bu un peu plus de vin, car il avait vraiment fait avant de me sentir mieux. La douleur de mes testicules a diminué quelque peu, mais je reste assis très près. Surprise, il n'a pas été aussi
mal à l'aise de s'asseoir sur mon pénis que je ne le craignaient. Janice a ouvert un nouveau pack de très simple tuyau et m'a rappelé la manière de mettre en place. Après avoir fixé correctement à
la corset onglets, elle m'a remis une paire de culotte rose dentelle à l'usure. Avant je pouvais tirer sur toute la hauteur, elle m'a dit d'attendre comme elle l'a déballé une serviette
hygiénique.
- Il s'agit dans le cas où vous avez un autre accident, sourit elle.
- Je n'aime pas du tout à nettoyer que les mauvaises choses.
Vient ensuite une paire de talon rose moyen de pompes. Je me suis assis sur la vanité de mettre en place. Debout comme elle a une robe rose, je trouve je n'ai pas été trop bancal. Mais même la
faible hauteur des talons a suffi à me faire plus d'ériger stand qui a renforcé l'illusion de seins. Oh, je pensais que je ricoché dans le miroir, je l'espère, je ne suis pas encore très faible.
Ces sentiments d'excitation j'avais ressenti avant le remplacement rapide a été mon embarras. Elle a soigneusement ramené la robe sur mes cheveux et il zipped jusqu'à l'arrière. Après avoir modifié
la forme ici et là, elle a mis un diamant pendentif sur une chaîne en or autour de mon cou, et un bracelet en or sur mon poignet gauche.
- Maintenant, demi-tour et jetez un coup d'oeil, jeune fille, dit Janice.
Il y avait un grand miroir sur le mur opposé et je réussis à lancer quelques regards, j'avais maintenant la vision d'une jeune femme parfaite. Le soutien-gorge pushup, le corset étroitement lacé,
le top ajusté de la robe et la jupe évasée créait une incroyable image de la féminité. Janice, me tenant par les épaules m'a rapidement tourné du miroir.
- Oh non, jeune fille, nous n'avons pas le temps pour un autre nettoyage. Nous devons nous dépêcher. Il est presque temps pour le dîner, déclara Janice.
Elle devait avoir remarqué que je commençais à trembler. Me voir dans le miroir m'excita énormément de nouveau ! Janice me tenait par la main et m'amena à la salle de bain. J'avais quelques
difficultés à marcher avec les escarpins jusqu'à ce que Janice m'expliqua comment placer mes pieds pour que les orteils et les talons touchent le sol en même temps. Après quelques essais, cela me
paraissait naturel et c'était beaucoup plus facile de marcher. Nous sommes allés dans l'ascenseur où Janice appuya sur le bouton du troisième étage. Nous sortîmes de l'ascenseur dans une autre
salle, mais celle-ci était décorée avec beaucoup d'élégance. Janice s'arrêta devant de belles portes en bois, les ouvrit et me fit entrer. Au centre de cette très grande salle, il y avait une
immense table ovale autour de laquelle étaient assises de très belles femmes. Janice m'amena tout au bout et me plaça derrière une chaise vide. Janice s'assit sur la chaise à ma droite, mais
m'ordonna de rester debout. Mme Merrill était assise à l'autre bout de la table et dit :
- Mesdames, voici James Sanders.
Le repas avait déjà commencé, mais tout le monde porta son attention sur moi quand nous entrâmes dans la pièce. Je me demandais comment elle connaissait mon nom ? Je ne me souvenais pas l'avoir
donné à quiconque. Mme Merrill commença à me présenter aux femmes assises autour de la table.
- James, dit-elle en regardant à droite, voici l'honorable Clarice Newman, sénateur des États-Unis. Se tournant sur la gauche, elle me présenta, et voici l'honorable Marsha Power, député des
Etats-Unis, la deuxième personne à ma droite était Alicia Dumont, juge à la cour supérieure d'Etat. La deuxième personne à ma gauche, Adriana Covington, Docteur en médecine, la troisième personne à
ma droite était Erica Powell, docteur en pyschiatrie......
Et cela continua d'un côté à l'autre de la table, dans un premier temps, je me suis demandé pourquoi Mme Merrill n'avait pas simplement fait un tour de table, mais je me rendis compte ensuite que
celles qui semblaient être plus importantes étaient assises le plus près d'elle. J'étais impressionné, j'étais assis à un dîner privé avec quelques-unes des plus importantes et des plus puissantes
femmes du pays. Mme Merrill devait penser qu'il y avait quelque chose en moi qui était digne d'un tel honneur. J'étais extrêmement heureux d'être ici, d'autant que tout le monde était si agréable
et semblait heureux que je les aie rejoints pour le repas. Lorsque Mme Merrill termina les présentations, elle demanda à toutes de continuer de manger et de profiter de leur soirée. Je fus servi
d'une salade par une domestique en tenue classique de domestique, robe noire, tablier blanc, et coiffe. J'avais remarqué qu'il y avait plusieurs domestiques debout autour de la salle, près des
murs, et qu'elles regardaient de très près les personnes devant elles. De temps en temps, elles enlevaient une assiette, ou remplissaient un verre, sans que quiconque ait dit ou fait quoi que ce
soit, de toute évidence, elles étaient bien formées. Janice m'a conseillé de ne pas trop manger après la salade, je serai très mal à l'aise en portant le corset. Pendant le repas, de nombreuses
conversations étaient en cours autour de la table et tout le monde semblait profiter d'eux-mêmes et de la compagnie des autres. Quand tout le monde eut fini de manger, Mme Merrill demanda
l'attention de chacun et dit :
- James est venu chez nous cet après-midi en voulant des photos d'une machine pour les mini vagues permanentes. Puisque personne d'autre n'était disponible, il a décidé que nous lui fassions
la mini vague. Je dois dire que les résultats sont excellents, n'êtes vous pas d'accord ? Il y eu de nombreux commentaires très agréables comme quoi j'étais belle, adorable, etc... J'étais sûr que
mon visage devait être rouge de honte. Même si j'avais rougit, j'avais adoré chaque mot. Ce qui était étrange, c'est que je j'appréciais d'être décrite en ces termes. Mais Mme Merrill ne permis pas
très longtemps les commentaires, et repris rapidemment :
- Il se fait tard et je suis sûre que James est fatigué de tout ce qu'il a connu aujourd'hui et je vais l'excuser pour le moment. Car il est tard et il ne serait pas prudent de vous promener
dans la maison à cette heure tardive. Une chambre a été préparée pour vous. Je serais heureuse que vous vous soyez notre hôte, ce soir, et je pourrai vous parler de votre avenir dans la
matinée.
Janice m'accompagna jusqu'au hall où elle me présenta à une petite brune portant un uniforme de domestique comme celles de la salle à manger, sauf que le sien était rose.
- Voici Felicia, elle a été désignée pour prendre soin de vous pendant votre séjour chez nous. Elle satisfera tous vos besoins. Je vous verrai dans la matinée. Sur ces mots, Janice retourna
à la salle à manger.
Felicia appela l'ascenseur et nous amena au deuxième étage. La première chose que je remarqua, c'est que le deuxième étage n'était pas du tout décorée comme le troisième étage, en fait il était
très clair, presque comme un hôpital. Felicia tourna à droite comme si nous prenions l'ascenseur, puis se rendit à la dernière porte sur le côté droit. L'intérieur de la chambre était beaucoup plus
agréable, mais il n'y avait pas de tapis sur le sol. Le sol de vinyle été très brillant et il y avait une commode, un miroir et un lit simple. Alors qu'elle commençait à défaire la fermeture éclair
de ma robe, Felicia dit :
- Je dois vous aider à vous préparer pour aller au lit. Je vais vous aider à enlever vous déshabiller et à vous démaquiller.
J'avais remarqué que Felicia n'avait rien dit jusqu'ici et qu'elle avait un très fort accent quand elle parlait. Alors qu'elle m'aidait à me déshabiller, je lui ai demandé d'où elle était et
comment elle en était venue à être une femme de chambre. Son histoire était très intéressante, elle m'expliqua qu'elle venait des montagnes d'Amérique centrale avec sa famille, et comment elle
avait été séparée de sa famille à la frontière. Elle dit qu'elle était très chanceuse d'être venue ici avec un groupe d'hommes qui devaient travailler comme jardiniers pour la société de paysage
qui s'occupait des jardins de cet établissement. Elle dit qu'un jour Mme Merrill l'avait remarquée travaillant dans la cour, et qu'elle lui avait parlé un bon moment, et elle lui demanda si elle
voulait travailler comme domestique.
Je lui ai dit que je pensais que cela était étrange qu'une jolie jeune fille travaillait comme jardinier au lieu de travailler comme domestique. Elle venait juste de finir d'enlever mon corset
quand elle me surpris totalement en me disant qu'elle était un garçon lorsqu'elle travaillait dans les jardins. J'étais stupéfait par ce que je pensais depuis quelques minutes, durant ce temps,
elle m'avait démaquillé et frotté avec une crème très apaisante sur le visage et le cou. Elle était si douce que je m'étais presque assoupi. Felicia commença à me dire comment Mme Merrill avait été
gentille et généreuse en la prenant à son service et en lui obtenant sa naturalisation. Elle raconta à quel point sa vie était difficile avec les jardiniers car le travail était très dur, et que
les hommes étaient toujours à la harceler parce qu'elle était petite. Elle m'a ensuite fait mettre debout et entièrement nu dans la salle de bain, puis elle me frotta tout le corps avec une
crème au parfum suave. Alors qu'elle se rendait à la garde-robe pour me prendre des vêtements, j'ai enfin pu récupérer un peu du choc qu'elle fut un garçon, et je commença à la questionner.
- Voulez-vous dire que c'est de vous habiller comme une femme qui vous permet de travailler comme domestique ?
- Non... réplica Felicia. Mme Merrill a fait de moi une femme pour que je puisse travailler pour elle en tant que servante.
- Vous voulez dire que vous êtes une femme maintenant ? ai-je demandé surpris...
- Oui, je suis une vraie femme maintenant, Mme Merrill m'a transformée en véritable jeune femme, elle est tellement bonne pour moi, elle m'a rendue très heureuse.
- Je ne comprends pas, Mme Merrill vous a forcé à devenir une femme ? Vous voulez dire que vous avez été opérée ? ai-je demandé.
- Oui, j'ai eu une opération, et ne je n'ai pas été forcée, en vérité, je l'ai suppliée de faire de moi une jolie femme. Mais maintenant il faut mettre ces choses en sommeil, et
plus de questions. Mme Merrill vous parlera demain et vous dira tout cela, répondit-elle en m'enveloppant d'un corset autour de la taille.
- Oh non, pas un autre corset ! Comment pourrais-je dormir avec ça. me suis-je exclamé.
- Vous devez porter le corset à tout moment, afin d'avoir une taille fine. Mais ne vous inquiétez pas celui ci n'est pas si serré. Maintenant, mettez cette nuisette, il faut
dormir tôt pour être prête pour votre grand jour, demain, dit Felicia.
Elle avait raison, le corset n'était pas trop inconfortable, et la belle nuisette longue était très agréable contre mon corps glabre. Felicia me borda et m'embrassa sur la joue. Quelle douceur
pensais-je, mais avant que je puisse la remercier, elle sourit et dit :
- Vous êtes si belle, je pense que vous allez peut-être le demander vous aussi très bientôt.
Après cela, elle éteignit la lumière, ferma la porte et quitta la pièce. Un écran de télévision encastré dans le mur, que je n'avais pas remarqué avant, s'est allumé et commença à diffuser le même
programme que j'avais vu dans le salon de beauté. Je me suis demandé comment j'allais dormir avec la télévision allumée ? Mais j'ai vite trouvé la musique douce et belle et je me suis surpris à
somnoler de nouveau. Je devais avoir bu trop de ce grand vin au dîner..... Que voulait elle dire par supplier,... ah oui je me souviens maintenant, Felicia a dit qu'elle avait supplié Mme Merrill
de la faire opérer.... Que je supplie pour être opéré, que c'est ridicule. J'aimais ma nouvelle apparence, et c'était tellement excitant de me faire faire la permanente, mais demander à être
castré,.... jamais ! Vous savez en tant que journaliste, je travaille seul..... je pourrais peut-être continuer de porter mes cheveux comme ça. Ça alors, si j'étais maquillé comme ça, il serait
naturel de porter quelques-uns de ces beaux vêtements, hmmm mes clients ne le sauraient probablement jamais si je ne leur dit pas. Je devrais le faire de toute façon puisqu'elles m'ont épilés les
sourcils et m'ont percé les oreilles. Au moins jusqu'à ce que mes sourcils repoussent, et si je ne porte pas de boucles d'oreilles, les trous devraient se refermer bientôt. Je devait juste trouver
un quartier où personne ne me connaît.
- Réveillez vous beauté. Il est temps de vous préparer pour voir Mme Merrill. Vous ne voulez pas être en retard pour votre grand jour.
Felicia me secouait, alors que j'essayais de me sortir de ce sommeil profond, où j'étais si bien. Elle apporta le plateau du petit déjeuner avec un café et l'odeur était merveilleuse. Tandis que
j'étais assis buvant mon café, Felicia s'affairait entre la salle de bain et la garde-robe. J'étais simplement en train de savourer le café en pensant combien il était agréable d'être assise ici,
dans cette jolie nuisette quand je me suis souvenu de tout ce qui s'était passé hier. Je me suis levé et j'ai marché jusqu'au miroir pour m'assurer qu'il ne s'agissait pas seulement d'un rêve.
C'était vrai, mes sourcils étaient épilés et les boucles d'oreilles pendaient à mes oreilles percées. A part le bonnet de nuit en satin et le manque de maquillage, je me voyais comme j'étais hier.
Il ne s'agissait pas d'un rêve, et je pouvais dire que la lotion que Janice m'avait frotté sur le pénis n'est plus efficace. J'ai eu une autre érection en me voyant, c'était étrange, mais ô combien
c'était bon. Felicia revint dans la chambre et dit :
- Vous devez vous dépêcher et manger, nous devons commencer à vous préparer.
- Je n'ai pas faim maintenant, je vais boire le café. ai-je dit en me tournant vers elle.
- Oh, vous vous aimez lorsque vous êtes jolie, dit-elle.
Je rougis lorsque je me rendis compte qu'elle avait vu mon érection poussant contre la nuisette. Felicia m'a conduit dans la salle de bain et retira le bonnet de satin et le remplaça par un bonnet
de douche bouffant. Après avoir enlevé le corset, je me retrouvais dans la douche pendant qu'elle me lavait. (Je pourrais avoir un job d'employée de maison personnelle.) Felicia me sécha et me
poudra entièrement et m'enleva le bonnet de douche. Quand je fut de retour dans la chambre, l'esthéticienne qui m'avait fait le maquillage hier m'attendait. J'ai retiré rapidement ma nuisette et
elle me dit de m'assoir à la table à maquiller. Elle m'appliqua immédiatement différents produits de beauté. Elle m'expliqua en détail chaque produit et comment les appliquer. Juste au moment où
elle finissait, Janice entra dans la pièce et commença à rafraîchir ma coiffure. Bientôt seule Felicia restait, et elle me laça rapidement un beau corset lavande pâle avec des prothèses en silicone
dans les bonnets du soutien-gorge. Ensuite, elle prit une sorte de tube en latex ressemblant à un préservatif, mais beaucoup plus solide et plus épais. Comme j'étais déjà en érection en regardant
Janice me recoiffer, elle n'eu aucune difficulté à l'enfiler et à le rouler vers le bas. Dans un mouvement rapide, elle poussa plus loin sur le tube, permettant à mon gland de sortir de l'extrémité
ouverte. Moulé dans ce tube, il y avait une longue sangle de latex robuste. Felicia m'appliqua un chiffon humide et froid sur le gland, provocant une chute assez rapide de mon érection. Elle a
ensuite rapidement fais passer la sangle en latex entre mes jambes et l'attacha à l'arrière de mon corset. Puisqu'elle avait déjà placé la sangle tenant mes testicules à l'intérieur de mon ventre,
j'avais de nouveau une aine d'apparence très féminine. Elle m'expliqua que ce dispositif était beaucoup plus sûr que le bandage et que je serai beaucoup plus à l'aise. Bien sûr, je devrai m'asseoir
pour uriner. Après avoir mis de la lavande sur le tube, elle me donna une très belle paire de culottes à dentelles en nylon. Encore une fois, on me donna une serviette hygiénique pour mettre dans
ma culotte. L'emballage de celle-ci disait que c'était une "Jour et Nuit" et qu'elle était très épaisse. Felicia m'a montré comment replier les volets autour de l'entrejambe de la culotte. Cette
protection me couvrais entièrement, de la base du pénis jusqu'au haut de la raie des fesses. A l'intérieur du slip serré c'était légèrement inconfortable, mais cela me faisait me sentir très
sécurisée et féminine. La robe qu'avait choisie Felicia était une robe d'été sans col, bleue lavande pâle, très légère avec des fleurs blanches imprimées. Bientôt, Felicia ferma et ajusta la robe à
sa satisfaction, et m'amena jusqu'à l'ascenseur. Encore une fois, j'étais impressionné par la richesse de la décoration du troisième étage. Felicia frappa à la porte, et après en avoir reçu
l'autorisation, ouvris la porte et la ferma derrière moi. Je me trouvais dans une très grande salle aménagée en bureau. Mme Merrill était assise derrière un grand bureau et me demanda de m'assoir,
en me montrant un fauteuil juste en face de son bureau.
- Eh bien James, il était évident hier que vous avez aimé la mini vague permanente. Je pense que vous avez aussi aimé tout ce qui vous est arrivé, depuis que vous êtes venu chez
nous hier. Maintenant, nous devons discuter du lieu où vous irez en partant d'ici. Ai-je raison de croire que vous avez un peu peur de rentrer chez vous ?
- Oui madame, j'aime ce à quoi je ressemble et je suis très excité par tout ce que vous m'avez fait. Mais je ne suis pas certain des explications que je pourrai donner sur ma
nouvelle apparence. Je suis sûr que ma propriétaire ne pourra pas comprendre, ai-je répondu.
Mme Merrill se tut un moment, comme si elle était dans une profonde réflexion, puis elle dit :
- Nous devrions pouvoir vous aider James, vous voyez, tandis que vous étiez dans le salon hier, un de mes salariés est allé à votre appartement.
J'ai commencé à exprimer ma surprise et ma colère, mais Mme Merrill tendit sa main et dit :
- S'il vous plaît écoutez moi James. Je savais que vous seriez hésitant à rentrer chez vous avec l'apparence que vous avez maintenant, j'ai envoyé un de mes employés à votre
appartement pour vous aider. Elle a dit à votre propriétaire, qu'elle était une de vos amies et que vous lui aviez demandé d'aller chez vous afin de vous prendre des affaires. Vous aviez été appelé
hors de la ville pour un entretien d'embauche et que vous serez parti pour quelques jours. Elle allait vous retrouver à l'aéroport avec vos vêtements. Donc, vous voyez vous n'avez pas à vous
soucier de manquer à personne pour un temps. Toutefois, j'ai aussi demandé à mon employé de regarder partout afin d'en apprendre un peu plus sur vous. Je dois dire que je n'ai pas été pas trop
surprise quand elle a signalé que vous aviez de nombreux livres et magazines sur les lesbiennes dans votre appartement. Je soupçonnais déjà que vous avez étiez profondément intéressés par les
femmes, mais pas d'une manière tout à fait normale. Je ne pense pas qu'un mâle totalement normal aurait jamais assez de courage pour se lancer dans un tel projet comme celui que vous aviez en
venant chez nous. Je savais que vous deviez vous identifier aux femmes d'une certaine manière, pour ne pas avoir peur ou être embarrassé en entrant dans un véritable salon de beauté. James, je
pense que dans votre imagination, votre désir est d'être lesbienne.
Mes émotions passèrent rapidement de la surprise et la colère qu'elles aient envahi mon appartement, à un profond embarras. Elles avaient découvert mon plus profond secret !
Quand j'avais onze ou douze ans, nous avions déménagé dans une nouvelle ville, et la fille de nos plus proches voisins m'envoutait totalement. Shirley avait quatorze ans, avec de longs cheveux
bruns ondulés, et c'était la plus belle fille que j'avais jamais vue. Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle ne m'apprenne à satisfaire ses désirs, oralement. Elle avait été très habile et
m'excitait tellement que j'éjaculais toujours en la satisfaisant. Quand j'ai compris plus tard comment elle m'avait formé à un si jeune âge, c'était trop tard et mon désir sexuel total était
d'adorer la fontaine des femme. Plus tard au collège alors que j'avais été partagé par deux lesbiennes plus âgées qui m'utilisaient pour de menus travaux à faire pour elles, elles me contrôlaient
en me récompensant par la permission de leur faire un cunnilingus. Quand elles obtinrent leur diplôme, la peur du SIDA m'a empêché de chercher une autre relation d'aucune sorte. Voyant mon embarras
et les larmes apparaitre, Mme Merrill dit rapidement :
- James, ne soyez pas gêné ! Vous êtes chez des amies. Tout le monde dans ce bâtiment apprécie et a un grand respect pour toutes les choses féminines. Nous comprenons tous votre
orientation et vos désirs. Vous voyez que chacune d'entre nous sommes totalement attachée à l'idéal féminin et à son style de vie. Nos intérêts commerciaux sont de tout faire pour embellir les
gens, indépendamment de l'opinion d'autrui, et dans le contrôle de leur propre destin. James je pense que vous pouvez vous aussi rejoindre notre organisation. Ici, vous serez libre d'exprimer votre
joie dans la féminité. Nous avons pris connaissance de votre diplôme en informatique. Nous avons besoin dans notre organisation d'une personne pour gérer un nouveau projet informatique. Peut-être
que vous pourriez être la personne que nous recherchons.
Mme Merrill avait toute mon attention aujourd'hui, je n'avais jamais rencontré quelqu'un qui pouvait comprendre mes sentiments auparavant. Mais maintenant, mon esprit était plein
de questions. J'ai commencé à la questionner, et puis les mots se sont précipités.
- Je ne suis pas sûr de comprendre tout ce que vous m'avez dit, mais si ce que vous voulez dire est que je pourrai travailler pour vous et ne pas avoir à défaire toutes les
belles choses que vous avez faites pour moi,.... je voudrais au moins examiner les différentes possibilités.
- Je peux prendre des dispositions pour que vous restiez avec nous quelques jours. Pendant ce temps, nous allons vous faire quelques tests pour être sûr que vous alliez bien. Je
vous rencontrerai un peu plus tard et je vous expliquerai tous les détails et je répondrai à toute question que vous pourriez avoir. Toutefois, étant donné que vous allez rester avec nous, je vais
vous demander de laisser le Dr Covington vous faire un examen physique. Pour vivre avec nous dans le même bâtiment, il est nécessaire d'être sûr que vous ne soyez pas porteur de virus dangereux ou
de maladie. Je suis sûr que vous comprenez nos précautions, m'informa Mme Merrill.
- Oui madame, je vous remercie pour votre compréhension, ai-je dit.
- Très bien. Felicia vous accompagnera chez le Dr Covington, et vous assistera durant votre séjour chez nous. S'il vous plaît, suivez toutes ses instructions et tout ira
bien.
Sur ce, Mme Merrill pressa un bouton, et Felicia entra pour m'amener chez le médecin.
La suite.....
1ère partie
Par Sandy Sullivan, Nifty.org
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Publié dans : Domination psychologique
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